Des interventions précoces nécessitent un nouveau type d’investissement social
L’investissement dans les programmes sociaux améliore les conditions sociales et, par conséquent, améliore la vie de la population.
L’investissement dans les programmes sociaux améliore les conditions sociales et, par conséquent, améliore la vie de la population.
Lorsque le dernier Accord sur la santé a expiré en 2014, le gouvernement Harper a unilatéralement imposé un nouveau modèle de financement pour le paiement des transferts fédéraux en santé aux provinces et territoires.
Partout au pays, les provinces tentent de réduire leurs dépenses de santé et se préoccupent beaucoup des coûts croissants associés aux médecins. Ont-elles raison? Oui — et non.
Durant la période des vacances, beaucoup de gens ont probablement eu avec leurs proches des conversations sur des sujets importants. Il serait étonnant toutefois qu’ils aient discuté des dispositions à prendre si jamais ils ne pouvaient plus un jour s’exprimer ou prendre de décisions.
Pas moins de 40 000 personnes au Canada souffrent d’insuffisance rénale. Ce phénomène qui s’accroît dans toutes les régions du pays a des répercussions notables sur notre système de santé.
On parle de plus en plus de renouveler l’Accord sur la santé entre le gouvernement fédéral, les provinces et les territoires. Quelle bonne nouvelle!
Le revenu de base garanti est le sujet de l’heure.
Après le Québec, qui a fait connaître tout récemment son intention d’étudier la possibilité de l’instaurer, et le comité éditorial du Globe and Mail, qui s’est prononcé en faveur de l’idée, le gouvernement ontarien a annoncé à son tour, lors du dévoilement de son budget jeudi dernier, qu’il allait lancer un projet pilote sur le revenu de base garanti.
« Les populations Canadiennes les plus vulnérables détiennent les taux les plus élevés de caries, de douleurs et de maladies dentaires et le plus faible accès à des soins dentaires essentiels. » Dr Paul Allison, doyen à la Faculté de dentisterie à l’Université McGill Lisez l’article : La couverture des soins dentaires par l’assurance maladie : […]
« Nombre de gens seraient surpris d’apprendre que le Canada offre moins de soins dentaires financés par les deniers publics que les États-Unis et qu’il figure parmi les pays dont les programmes de soins dentaires sont les moins bien financés. » Dr Paul Allison, doyen à la Faculté de dentisterie à l’Université McGill Lisez l’article […]
« Près de la moitié des Canadiennes et des Canadiens qui n’ont pas d’assurance dentaire, notamment les nouveaux arrivants, les aînés, les personnes occupant des emplois précaires et mal rémunérés, et leurs enfants, ne vont pas chez le dentiste en raison des coûts. » Dr Paul Allison, doyen à la Faculté de dentisterie à l’Université McGill Lisez […]