After many years of success, EvidenceNetwork.ca is no longer in operation. We would like to thank everyone who has contributed to the organization over the past decade including our dedicated researchers, newspaper editors, readers and funders. However, now it is time to move onto new ways of looking at knowledge mobilization and policy. Should you have any questions, please feel free to contact Shannon Sampert at s.sampert@uwinnipeg.ca.

Le fédéral doit placer la crise des opioïdes au sommet des priorités

Des centaines de cachets de codéine volés dans la pharmacie d’une personne âgée vivant seule dans une localité rurale. Des comprimés d’hydromorphone distribués dans des mariages et des fêtes dans les écoles secondaires.

Le Canada et le Québec comptent un nombre record de médecins et de spécialistes de la santé, mais est-ce une bonne nouvelle?

Partout au pays, les provinces tentent de réduire leurs dépenses de santé et se préoccupent beaucoup des coûts croissants associés aux médecins. Ont-elles raison? Oui — et non.

Les patients en fin de vie ne bénéficient peut-être pas des meilleurs soins possible

Notre système de santé est encore largement organisé autour des soins actifs (les soins d’urgence) et de « l’impératif thérapeutique », qui consiste à « réparer », lorsqu’une personne est malade, tout ce qu’on peut.